Les intervenants

Voici la fiche biographique de chacun des intervenants à l’activité Québec, Carrefour International sous l’hyperlien plus bas (par ordre des interventions). Les thèmes touchés qui correspondent à autant de projets présentés sont :

  • Les liaisons ferroviaires à grande vitesse;
  • Le branchement Internet sans fil et ambiant dans la cité;
  • L’accès au fleuve Saint-Laurent par les berges de Beauport;
  • La mise en valeur du caractère maritime de la région;
  • Le Centre d’excellence sur les technologies de lutte aux changements climatiques;
  • Le Centre d’exploration en science et technologie;
  • Le rayonnement culturel de Québec.

Jean Sérodes

Jean Sérodes vit au Québec depuis près de 40 ans. Ingénieur de formation, il détient un doctorat en génie civil de l’Université Laval. Enseignant à l’Université Laval depuis 1969, spécialisé en génie de l’eau et en qualité de l’eau potable, il a occupé diverses fonctions en tant qu’administrateur à l’Université Laval. Aujourd’hui, Jean Sérodes est doyen de la Faculté des Sciences et de Génie de l’Université Laval.

Lors de sa nomination, Jean Sérodes s’est engagé à privilégier, en termes de développement, des créneaux reliés aux problèmes anticipés du siècle présent.

Et c’est ce qui l’amènera dimanche à venir nous parler du projet de Centre d’excellence sur les technologies de lutte aux changements climatiques, une initiative démarrée, il y a quelques mois, dans un partenariat entre la Faculté de sciences et de génie de l’Université Laval et le Parc technologique du Québec métropolitain.

Manon Théberge

Passionnée, entrepreneure et visionnaire, Manon Théberge a étudié en Animation et recherche culturelle à l’UQÀM ainsi qu’en Administration.

Elle a travaillé une dizaine d’années à Ottawa dans l’organisation d’événements majeurs et la recherche culturelle.

Depuis 1998, elle dirige la Boîte à science à Québec qui offre annuellement 90 000 heures-jeune d’interaction scientifique.

Elle développe avec son équipe depuis 2001, le projet de doter la région de Québec du Centre d’exploration en science et technologie.

Elle s’intéresse particulièrement à l’impact du « libre choix d’apprentissage » chez le jeune et chez l’adulte.

Sa mission personnelle « Contribuer au développement de ma communauté, et faire honneur à la lumière qui brille en moi! »

Jacques Paquin

Monsieur Paquin détient un MBA et un baccalauréat en Administration des Affaires de l’Université Laval.
Directeur général de Innovation maritime depuis sa création à l’été 2001, Monsieur Paquin a été directeur du Centre de formation et de recherche en transport maritime et intermodal de 1989 à 2001.
Il a aussi été professeur à l’Institut maritime du Québec et à l’Université du Québec à Rimouski.
Innovation maritime, dont il est le directeur général, s’est donné pour mission d’identifier et de développer des solutions aux problèmes technologiques rencontrés par l’industrie maritime d’ici et de l’étranger en vue de soutenir la compétitivité des entreprises du secteur, de stimuler l’excellence, et de favoriser la croissance du secteur maritime par le biais de l’innovation technologique.
Innovation maritime compte à son actif plus d’une centaine de projets dans divers champs d’intervention du secteur maritime, tant à l’échelle nationale qu’internationale.

Patrick Albert

Patrick Albert est restaurateur de biens culturels au Centre de conservation du Québec, une agence du ministère de la Culture et des Communications.

Patrick Albert est engagé dans le domaine municipal au sein de plusieurs organisations ayant comme dénominateur commun la volonté d’améliorer la qualité du milieu de vie collectif :
Membre administrateur du Conseil de quartier du Vieux-Moulin ;Membre du comité de sauvegarde du site de la Villa et de la Redoute de Montcalm à Beauport ; Membre du comité de Vitalité de l’avenue Royale à Beauport.

Et dimanche, il sera parmi nous à titre de Vice-président d’Accès Saint-Laurent Beauport.

Accès Saint-Laurent Beauport est un regroupement de gens qui veulent redonner aux citoyens et aux visiteurs de la région de Québec l’accès au fleuve Saint-Laurent, l’un des plus majestueux cours d’eau au monde.

Le regroupement vise également à redonner à la région de Québec une qualité de vie digne des plus belles villes maritimes.

Louise Beaudoin

A-t-elle encore besoin de présentation ?

Vous ne savez peut-être pas qu’elle est née à Québec. Elle a étudié à l’Université Laval et à la Sorbonne, en France, avant d’oeuvrer au sein de la fonction publique québécoise.

Déléguée générale du Québec à Paris, en 1984 et 1985, elle devient ministre des Affaires internationales à l’automne 1985.

Députée de Chambly de 1994 à 2003, elle a dirigé les rênes du ministère de la Culture et des Communications, celui des Relations internationales, en plus d’être la ministre responsable de la Charte de la langue française et de la Francophonie.

Louise Beaudoin est actuellement professeure associée au Département de science politique de l’UQAM.

Yves Fortin

Le samedi 21 octobre a lieu à Québec le grand événement ciné télé, le rendez-vous avec les artisans de cette industrie. Yves Fortin est l’un d’entre eux.

Producteur d’expérience, il cumule plus de 20 années en production de longs métrages et de documentaires.

Il a à son actif plus de 15 longs métrages et plus de 80 documentaires.

Yves Fortin est président de Productions Thalie, société bien implantée depuis 1998 et qui est devenue en très peu de temps un joueur important dans la production cinématographique et télévisuelle dans la ville de Québec.

Yves Fortin est particulièrement aguerri sur la question de la francophonie, ayant dirigé à titre de producteur la télésérie de 15 épisodes, Francophonies d’Amérique, qui a été diffusée à Télé-Québec, RDI et TFO.

Président du Commissariat au cinéma et à la télévision de Québec, Yves Fortin est à même de vous parler de cette industrie à Québec. Porte d’entrée pour tous les producteurs étrangers, le Commissariat fait la promotion de la région comme terre d’accueil de productions d’ici et d’ailleurs.

James P. RePass

Homme d’affaires et journaliste qui lutte pour l’établissement d’une politique nationale complète sur le transport, James RePass a créé la «National Corridors Initiative» en 1989 dans le but de sensibiliser le public au transport ferroviaire. Le premier projet de la NCI a permis de relancer le projet d’électrification du corridor Nord-Est (ligne à grande vitesse), approuvé par le Congrès en 1979, mais bloqué ensuite par les administrations de Reagan et de Bush père.

Après avoir créé un conseil d’administration formé de citoyens engagés de la Nouvelle-Angleterre, M. RePass a poussé le dossier jusqu’à la Maison-Blanche. Il a négocié le déblocage, en septembre 1991, de 125 millions de dollars placés dans un fonds pour le projet qui avait été autorisé par le Congrès, mais bloqué par les administrations présidentielles subséquentes.

Ces fonds ont servi à amorcer le projet; chaque année par la suite, M. RePass et son organisation ont défendu le financement et le soutien politique du projet. Ce dernier a été complété en 1999, au coût total de 2,7 milliards de dollars et a permis de réduire le temps de déplacement entre New York et Boston de 5-6 heures à 3,5 heures.

Depuis, la NCI s’affaire à sensibiliser la population de tout le pays à un système de transport équilibré, surtout à des lignes à grande vitesse entre les aéroports et les centres villes. Il a deux grands projets en cours. D’une part, la « New England/Northeastern Infrastructure Initiative », qui vise à rebâtir la ligne de transport de passagers et de marchandises du Nord-Est des États-Unis et, d’autre part, TransPlan 21, un effort national à long terme pour changer la façon de penser et de financer l’infrastructure de transport en Amérique. Il a également travaillé dans la communauté pour développer des campagnes, des slogans et du matériel publicitaires pour la défense de l’environnement.

Mario Asselin

Associé chez Ixmédia (Solutions Web interactives) et sa compagnie soeur (Opossum, apprentissage et technologies) dont il est le directeur général, Mario Asselin est à l’origine d’une des expériences scolaires les plus réussies d’intégration des technologies aux apprentissages : les cyberportfolios de l’Institut St-Joseph de Québec.

C’était du temps où il était directeur d’école, ce qui l’a occupé pendant une quinzaine d’années, au secondaire et au primaire après neuf années d’enseignement et d’animation.

Il tient un blogue très fréquenté en éducation, «Mario tout de go», sur lequel il entretient des conversations Web depuis quatre ans.

Éducateur physique de formation, il est tombé dans les technologies quand il est devenu grand, au début des années 2000, au contact de ses élèves, chacun équipé d’ordinateurs portables.

Il a tellement aimé l’entreprise qui l’a supporté dans ce projet qu’il en est devenu un des propriétaires.

Depuis quatre ans, «il évangélise » ces concitoyens, littéralement, aux vertus du branchement sans fil partout à Québec.

Récipiendaire 2004 du prix CHAPO de l’Association Québécoise des Utilisateurs de l’Ordinateur au Primaire-Secondaire (AQUOPS), Mario Asselin croit que Québec devrait se positionner davantage sous le vocable d’une cité éducative, projet qui a été présenté à la Chambre de Commerce de Québec en février 2004 et qui continue doucement de faire des pas depuis ce temps…

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