La chimie des rassemblements à Clair au Nouveau-Brunswick n’a rien perdu de son efficacité. Débuté en 2010, l’édition de cette année, la cinquième, a conservé son caractère unique et ses débordements d’enthousiasme. En pleins préparatifs électoraux, je suis tout de même parvenu à me rendre à temps pour le début jeudi soir, à ce qui est devenu un rendez-vous incontournable, mais j’ai dû quitter immédiatement après l’intervention de Nancy Brousseau.
Accompagné par mon copain Serge que j’ai réussi à attirer cette fois, j’ai encore été stupéfait par l’accueil et l’organisation de l’équipe du Centre d’apprentissage du Haut-Madawaska. Plusieurs traces sont encore visibles par le truchement du fil Twitter #Clair2014 et ce nuage de mots décrit bien les thèmes qui ont été à l’avant-plan…
Tout comme Guillaume Payette, Patrick Giroux et Jacques Cool, j’avais très hâte de retrouver l’énergie de ces pédagogues qui souhaitent réfléchir ensemble sur le futur de l’école et de l’éducation. Cette année, plusieurs nouveaux visages ont pimenté les retrouvailles avec les habitués du rendez-vous annuel.
À partir du site officiel de l’événement, je suggère à tous ceux qui n’ont pu être de la fête de revoir les présentations et de surveiller sur Delicious.com, l’arrivée de nouvelles traces, archives, photos, textes ou vidéos de Clair 2014.
À ce beaucoup trop court billet, j’ajoute cette image qui m’a tellement réjoui quand je l’ai vu apparaître sur le fil Twitter hier après-midi.
C’est encore ce qui résume le mieux une de mes premières expériences avec le numérique, celle à l’Institut Saint-Joseph du temps où j’étais directeur d’école…
Je veux aussi me souvenir de cette synthèse en 140 caractères d’un des messages forts de l’intervention de Michael Fullan…
