L’écart entre filles et garçons se creuse

Note : Ce billet a d’abord été publié au Journal de Québec dans la section « blogue ».

Je m’intéresse aux écarts de réussite entre les filles et les garçons depuis longtemps. Sur mon blogue, j’ai publié plusieurs billets sur la réussite différenciée des filles et des garçons et dans l’actualité, je suis souvent intervenu pour tenter de comprendre les écarts dans les résultats obtenus.

Ce matin, c’est un tweet du professeur en adaptation scolaire de l’Université Laval Égide Royer qui a attiré mon attention…

Via le canal Twitter de Égide Royer

Déjà on sait que les garçons décrochent plus que les filles, le portrait des taux d’obtention des diplômes montre des écarts importants entre les filles et les garçons, ce qui devrait nous préoccuper. Le document «Les indicateurs de l’éducation 2012» illustre clairement, en ce sens, l’ampleur des différences. En formation générale des jeunes au secondaire, on parle de 21,5% des garçons qui sortent sans aucune diplôme pour 13,6% des filles, peu importe le nombre d’années passées sur les bancs d’école.

À l’université, les tableaux sont éloquents… et le fossé se creuse.

Indicateurs de l'éducation, 2012, MELS, tableau 5.6, p. 111.

Indicateurs de l'éducation, 2012, MELS, tableau 5.6, p. 111.

Un jour ou l’autre, il faudra porter davantage d’attention à cette problématique. En attendant, je suggère de regarder du côté du documentaire Un gars c’est un gars! pour peut-être identifier quelques pistes de réponses…

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